Pour les articles homonymes, voir Civitas (homonymie).
Civitas
.jpg)
| Fondation | |
|---|---|
| Dissolution |
(France) |
| Prédécesseur |
| Zone d'activité | |
|---|---|
| Type |
Parti politique (depuis avril 2016) |
| Forme juridique |
Association déclarée |
| Domaine d'activité |
Autres enseignements |
| Méthode |
Participation aux élections locales, formations, conférences, manifestations |
| Siège | |
| Pays |
.svg){kind=small}
| Membres |
165 000 revendiqués (en 2016)[1] |
|---|---|
| Fondateur | |
| Président |
Alain Escada (depuis ) |
| Affiliation |
L’aumônerie est assurée par les Capucins de Morgon. |
| Idéologie | |
| Positionnement | |
| Publication |
Civitas — Revue catholique des questions politiques et sociales |
| Sites web |
| RNA | |
|---|---|
| SIREN | |
| OpenCorporates |
Civitas est un mouvement politique d'extrême droite intégriste européen originaire de France. Fondé en tant qu'association en 1999, Civitas devient un parti politique en 2016. Il est notamment connu pour ses actions contre des œuvres d'art qu'il juge blasphématoires ou contre le mariage homosexuel.
En août 2023, le ministre de l'Intérieur français Gérald Darmanin engage la dissolution du mouvement après des propos antisémites d'un invité de l'université d'été de Civitas. Cette dissolution est approuvée le par le Conseil des ministres. Il demeure actif en Suisse et en Belgique où il n'est pas interdit, ainsi qu'en France via le faux-nez « Sainte Geneviève Paris ».
- « Poisson: si les adhérents de Civitas votent pour moi, "c'est leur liberté" », sur Le Point, (consulté le )
- « La mairie de Paris porte plainte contre un groupe de fondamentalistes chrétiens », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
- Maxime Macé et Pierre Plottu, « Les derniers fans de Pétain rejouent le sketch de la commémoration à l’île d’Yeu », Libération, (lire en ligne, consulté le ).
- Anne-Bénédicte Hoffner, « Civitas perturbe une cérémonie oecuménique à Lyon », La Croix, (lire en ligne, consulté le ).